Ou alors la personne qui à bien le bon titre/auteur mais qui est complètement décontenancée quand on lui demande quelle édition elle cherche (Quand il en existe au moins une dizaine bien évidemment)
– Le Cid de Corneille.
– Oui lequel ?
– Euuuuh
– Ah bin je vais vous montrer. *va en rayon* Voilà, y’a tout ça ! Et encore, j’ai pas toutes les éditions.
La tête des gens à ce moment là est quand même assez savoureuse
dans les grands classiques il y a aussi le:
“ben vous savez bien: tout les gamins de la classe ont du prendre le même hein!…”
et sinon en proche: dans un poney club ils avaient fini par vraiment appeler un des chevaux: “n’importe”
“vous voulez un cheval en particulier?”
“oh n’importe…”
ce qui était marrant c’est que c’était le plus teigneux!
Une amie provocatrice s’était avancé vers son libraire et a entamé la conversation ainsi:
“-Gros dégueulasse.
-Pardon??
-Gros dégueulasse, de Reiser, vous l’avez?”
Le libraire avait de l’humour. Heureusement.
Ça me rappelle, il y a longtemps, mon job étudiant en supermarché:
“Je cherche le yaourt, celui avec les fruits.”
“Tous les yaourts aux fruits sont ici dans le rayon.”
“Non, celui que je cherche, mais si, vous savez, c’est celui de la pub là!”
Celui en petit format : “UN GRAND LIVRE !” (avec beaucoup de pages)
et le piège de cette année
Le prix nobel litteraire, la version qui s’écoute
(pour ceux qui ecoute les livres audios)
En fait le prix Nobel, les ecrivains pro l esperait pour vendre leur bouquins !
dylan, dylan, cabrel, renaud et
dylan, dylan ,brassens, corbier, et
dylan, dylan, brel, bruel
dylan, dylan, lavillier, lenorman et
dylan, dylan…
dylan dylaaaaan …
Autre perle de commerce, j’ai une cave avez-vous du Uby
u b y épelé. Non pas de l’Uby mais j’ai un vin des Côtes de Gascogne. Le regard ????? de quoi elle parle celle-là
A quand les marques deviennent génériques la galère
L’époque Virginienne est bien loin mais je tenais un carnet de perles à l’époque. Je me souviendrai toujours du monsieur qui me demandait en s’énervant de lui trouver un livre de “sexeper” pour “Shakespeare”.
Haha les gens…
Hyper bien
On s’ennuierait sans eux
Ou alors la personne qui à bien le bon titre/auteur mais qui est complètement décontenancée quand on lui demande quelle édition elle cherche (Quand il en existe au moins une dizaine bien évidemment)
– Le Cid de Corneille.
– Oui lequel ?
– Euuuuh
– Ah bin je vais vous montrer. *va en rayon* Voilà, y’a tout ça ! Et encore, j’ai pas toutes les éditions.
La tête des gens à ce moment là est quand même assez savoureuse
– Quel auteur ?
– Je sais pas… 20 cm…
(Et si la libraire a encore la force pour du second degré : – Vincent qui ?)
Hahaha
Elle est bonne celle là aussi.
Je dirais lol.
(je n’ai pas pu me retenir de faire la recherche Google, ce serait rigolo si ce livre existait !)
Oui tiens, je ferai la recherche sur Electre cette aprem pour voir
Tu m’as fait rire. Beaucoup rire.

dans les grands classiques il y a aussi le:

“ben vous savez bien: tout les gamins de la classe ont du prendre le même hein!…”
et sinon en proche: dans un poney club ils avaient fini par vraiment appeler un des chevaux: “n’importe”
“vous voulez un cheval en particulier?”
“oh n’importe…”
ce qui était marrant c’est que c’était le plus teigneux!
Tellement vrai dans tous les domaines du commerce
Dès le moment où les gens veulent un truc sans savoir quoi.
PS : J’aime beaucoup ce que tu fais, dommage qu’il n’y a pas plus souvent de post.
Une amie provocatrice s’était avancé vers son libraire et a entamé la conversation ainsi:
“-Gros dégueulasse.
-Pardon??
-Gros dégueulasse, de Reiser, vous l’avez?”
Le libraire avait de l’humour. Heureusement.
Ça me rappelle, il y a longtemps, mon job étudiant en supermarché:

“Je cherche le yaourt, celui avec les fruits.”
“Tous les yaourts aux fruits sont ici dans le rayon.”
“Non, celui que je cherche, mais si, vous savez, c’est celui de la pub là!”
Ahhh, ça me fait remonter des souvenirs d’ancienne libraire…
“Ouais vous zavez les métamorphoses d’Ovidie ?”
Celui en petit format : “UN GRAND LIVRE !” (avec beaucoup de pages)
et le piège de cette année
Le prix nobel litteraire, la version qui s’écoute
(pour ceux qui ecoute les livres audios)
En fait le prix Nobel, les ecrivains pro l esperait pour vendre leur bouquins !
dylan, dylan, cabrel, renaud et
dylan, dylan ,brassens, corbier, et
dylan, dylan, brel, bruel
dylan, dylan, lavillier, lenorman et
dylan, dylan…
dylan dylaaaaan …
Autre perle de commerce, j’ai une cave avez-vous du Uby
u b y épelé. Non pas de l’Uby mais j’ai un vin des Côtes de Gascogne. Le regard ????? de quoi elle parle celle-là
A quand les marques deviennent génériques la galère
Rho!!!! Mais pourquoi ta libraire est elle vieille, avec des lunettes, un chignon flous et une jupe à fleurs??? C’est cliché
Chut tu vas la vexer !
Mais c’est vrai que j’ai exagéré pour les lunettes elle a pas la petite chaînette ! 
Que dire à quelqu’un qui trouve que c’est du racisme social ?
Miss Gally….. Ca doit te rappeler des souvenirs d’une lointaine époque Virginiene !!!
Content d’être retombé sur ton blog !
signé : un ancien collègue de cette même époque !
L’époque Virginienne est bien loin mais je tenais un carnet de perles à l’époque. Je me souviendrai toujours du monsieur qui me demandait en s’énervant de lui trouver un livre de “sexeper” pour “Shakespeare”.