Jusqu'à présent, j'ai vécu Angoulème côté éditeur, cloîtrée derrière un stand à vendre des BD et à baver devant le programme des expos sans pouvoir y goûter. Cette année, libre de tout engagement, je suis venue au festival international de la bande dessinée, le coeur léger et avide de me repaître d'images merveilleuses.
Bon... au lieu de courir les expos, les débats, de profiter des auteurs présents pour faire des dédicaces, j'ai croisé des bloggeurs, des gens que je connaissais et j'ai tchatché toute la journée. Mon excursion a Angoulème s'est résumée à ça :
Je râle parce que je pars avec un goût d'inachevé dans la bouche mais c'était bien quand même, hein !
Voilà mes p'tits achats, je me suis retenue pour pas vider mon compte en banque...
1. Louis Riel de Chester Brown : Pas lu encore, mais le contenu semble alléchant. Comme quoi, la selection d'Angoulème peut encore faire découvrir des trucs !
2. Comics : Alors ça j'ai feuilleté pensant que c'était une suite à Jimmy Corrigan mais en fait non, c'est un recueil de plein d'autres comics indé ! C'est super beau !!
3. Le Phaco, spécial Nice : Je ne pouvais pas passer à côté. J'ai lu et c'est vraiment très bien ! Plein d'histoires et d'expériences niçoises, vraiment, ça me met du vague à l'âme.
4. Patate douce 6 : Pas encore lu mais je suis sûre de ne pas être déçue.
5. Super Coin-Coin de Vincent Rioult : Ma seule et unique dédicace du salon ! Et la BD est très bien et gagne à être relue.
6. Madame Fa : Ca c'est pas pour moi c'est pour Fr, mais s'il se bouge pas à venir le chercher je le garde...
7. Oubapo 4 : Depuis le temps que je voulais m'en payer un. L'ouvroir de bande dessinée potentielle promet de belles surprises.
8. Summer of Love de Debbie Drechsler : Après avoir lu l'écoeurant "Daddy's girl", je continue avec cette auteur(e). Celui ci est moins bien, mais sympa à lire.
9. Les Kids de joe Matt : héhéhé, je suis sûre que c'était un sale morveux étant petit !
10. Morvel par Morvel (collectif) : Pas cher, plein de pages, plein de couleurs, ça m'a l'air bien sympa !
11. Ripple de Dave Cooper : Honte sur moi, j'allais oublier celui là ! Une merveille de glauquerie et de sexualité perverse. C'est envoutant, bizarre, ecoeurant, touchant... pfff je trouve pas les mots. Gros coup de coeur pour moi !
Bon, pour finir, plutôt que de faire un compte rendu soporifique à tenter vainement de caricaturer les gens que j'ai croisé, je vous rajoute une petite anecdote qui m'est arrivée en partant...